Toutes les réponses 100% utiles à votre quotidien
Une perte d’autonomie trop importante, des proches qui ne peuvent plus assurer une présence continue, le décès de son conjoint et la volonté de ne pas être seul… Lorsque le maintien à domicile devient risqué ou n’est plus désiré, il est possible de se tourner vers des solutions d’hébergement temporaires ou permanentes, dont voici un rapide panorama.
Quand la perte d’autonomie implique un danger pour la personne âgée, il est souvent nécessaire de trouver un établissement d’hébergement.
© AdobeStock
Résider, pour un temps, hors de chez soi présente un intérêt dans de multiples circonstances : des travaux d’aménagement doivent être effectués au domicile pour s’adapter au niveau de dépendance de son occupant, les personnes aidantes partent en vacances pour quelques jours ou semaines, une maladie ou un événement grave nécessite une surveillance et une présence particulières…
Différents types de structures peuvent alors être envisagés. Pour faire le bon choix, plusieurs questions méritent d’être posées :
Des démarches peuvent alors être engagées auprès d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), si une prise en charge médicalisée est requise.
Sinon, les résidences autonomie et services pourront suffire à des personnes relativement indépendantes mais qui ne souhaitent pas rester isolées.
Il s’agit d’une décision importante, qui implique de quitter son domicile afin de s’installer dans un autre logement, voire une autre ville.
Des habitudes devront être recréées, et des nouvelles relations, nouées. Ce choix ne peut être pris à la légère.
Voici différentes options à votre disposition.
La personne est dépendance mais un suivi médical n’est pas nécessaire
Une maison de retraite non médicalisée (mais dispensant les soins de base en cas de maladies bénignes) peut être recommandée.
Si une plus grande liberté est recherchée, il y a alors, comme évoqué précédemment, les résidences autonomie et les résidences services.
Le principe : des personnes seules ou en couple habitent des logements individuels et privatifs, tout en accédant à des lieux de vie communs et à des prestations (restauration, ménage, blanchisserie…).
Des médecins et une équipe soignante sont requis, en plus des soins quotidiens ?
Selon l’ampleur des besoins, les EHPAD ou les Unités de Soins de Longue Durée (USLD) sont sans doute plus adaptés. Ces derniers, associés à des établissements hospitaliers, sont destinés aux personnes nécessitant une surveillance constante.
Outre la question médicale, d’autres critères doivent être pris en compte, tels que le prix de l’hébergement et les aides auxquelles celui-ci donne droit, l’emplacement (proche du domicile ou plutôt des proches ?), les services et animations proposés au quotidien…
Quoi qu’il en soit, il est conseillé d’entamer les démarches au plus tôt et de déposer des dossiers dans plusieurs établissements pour multiplier les chances de trouver une place.
L’état de santé (physique et/ ou mental) de votre proche vous fait craindre qu’il/elle ne puisse plus gérer son argent et son patrimoine en toute connaissance de cause ?
Sachez que vous pouvez demander la mise en place d’une mesure de protection juridique (sauvegarde de justice, curatelle, tutelle). Pour cela, vous devez vous adresser au juge des tutelles du tribunal d’instance du lieu de résidence habituel de la personne à protéger.
Qu’il s’agisse de vivre à domicile ou de s’installer de manière plus ou moins provisoire dans un établissement d’hébergement, la dépendance représente un coût certain. Pour préserver sa qualité de vie sans pour autant peser sur les finances de ses proches, un seul mot d’ordre : l’anticipation.
La diminution de l’autonomie n’est pas forcément incompatible avec le maintien à domicile. Si des solutions peuvent être mises en œuvre pour que la personne dépendante reste chez elle, celle-ci sera toujours plus à l’aise dans un environnement familier, entourée de ses souvenirs. Il convient parfois simplement...
MMA à vos côtés pour assurer votre « in » dépendance
L’augmentation des maladies invalidantes physiquement ou psychologiquement (Alzheimer, Parkinson…) ainsi qu’en parallèle, l’allongement de l’espérance de vie ne font que conforter l’importance de se constituer progressivement un capital en prévention (financement d’une maison de retraite par exemple).
Les contrats d’assurance-vie (et notamment leur sortie en rente viagère) sont d’excellents supports pour cela.
N’hésitez pas à contacter votre Agent Général MMA pour réaliser un plan d’alimentation de votre contrat, des simulations et bénéficier de conseils personnalisés.
MMA Sérénité, pour mettre également ses proches à l’abri
On a également souvent à l’esprit, la volonté de mettre ses proches à l’abri des besoins matériels ou financiers lorsque le décès surviendra. Pour cela, des solutions existent pour permettre, moyennant le versement de cotisations, de garantir un capital au(x) bénéficiaire(s) de son choix.
Le contrat MMA Sérénité pourra servir, le moment venu, au financement de tout ou partie des frais d’obsèques. Parlez-en à votre Agent Général MMA.
AddThis conditionne l'affichage des options de partage au dépôt de traceurs. Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer sur "Paramétrer".