Depuis un an, Pauline Fall est relais géographique Covéa sur le site MMA du Mans. Sa mission : décliner en local les actions de sensibilisation de la politique RSE de Covéa, avec les quatre autres relais géographiques du site. Son objectif : sensibiliser un maximum de collaborateurs aux enjeux RSE.
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Le réseau des relais géographiques existe depuis 2018 chez Covéa. Plus d’une trentaine de collaborateurs œuvrent pour relayer localement la politique d’impact sociétal du Groupe via des partenariats ou des actions de sensibilisation.
33 personnes
C'est le nombre de personnes relais géographiques chez Covéa
Pauline Fall, salariée au pôle exploitation au Mans, est devenue relais géographique fin 2021. « Ma Direction avait lancé un appel au volontariat et je me suis portée volontaire. A la Direction Immobilier, notre responsable développement durable, Valérie Gandemer, nous a fait découvrir ce sujet et j’ai vite accroché. » Elle a ainsi rejoint l’équipe des 5 relais géographiques du Mans.
Donner envie aux collaborateurs de changer leurs pratiques
Pauline Fall et ses collègues relais géographiques mettent en œuvre les animations prévues régulièrement par la Direction RSE de Covéa. « En début d’année par exemple, nous avons organisé une animation pour tenter de gagner nos collègues à la cause du covoiturage », raconte-t-elle. Pour toucher un maximum de personnes, ils se sont installés devant le restaurant d’entreprise lors de la pause méridienne. Distribution de flyers, échanges et discussions : l’objectif de cette animation était de faire découvrir une plateforme de covoiturage et d’encourager les collaborateurs à s’y inscrire.
Pauline Fall
« Il faut savoir accrocher les gens, détourner par l’humour les arguments des plus réfractaires. Il faut essayer de montrer les avantages environnementaux de telle ou telle action. »
« Le bilan de cette animation a été très positif. Près de 50 personnes se sont inscrites en un mois », se félicite Pauline. Autre preuve que la sensibilisation a fonctionné : entre janvier et mars 2023, le nombre de trajets réalisés en covoiturage a bondi de 13 à 234 trajets. D’autres animations sont régulièrement organisées pour promouvoir diverses solutions de mobilité douce, comme le prêt de vélo par exemple.
Faire évoluer les mentalités
Aborder les collaborateurs pour leur parler de ce sujet se fait très naturellement pour Pauline mais il faut avoir l’art de convaincre. « Il faut savoir accrocher les gens, et détourner par l’humour les arguments des plus réfractaires, précise-t-elle. Il faut essayer de montrer les avantages environnementaux de telle ou telle action ». Sa plus grande fierté : réussir à changer la mentalité de ceux qui, au départ, ne sont pas ouverts aux enjeux environnementaux.
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